Fait plusieurs fois, mais ce tout doux Fondant au potimarron parfumé au macis disparaissait toujours trop vite pour l’image ; rattraped de justessing avec ces deux ultimes portions ! Sérieusement inspiré des tambouilles de Rose Noisette et de Green Cuisine, il est simple et rapide. Et ce n’est pas un problème s’il ne lève pas car foncièrement il ne lève pas.
Profumo di mazza…
Le blabla habituel : non, ben là non. Il suffit vraiment de le faire et juste le manger, même pas de scroll ni de chocolat noir, rien.
(Ah si tout de même, la note de l’éditrice : les étoiles de badiane posent ici en déco, mais celles & ceux qui aiment son goût spécial, anisé, peuvent tenter l’aventure avec.)
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Pour un joli petit gâteau (doubler les doses si du monde) :
- 500 g de chair de potimarron
- 40 g de purée d’amande blanche
- 80 g de sucre rapadura
- 80 de farine (blé / sarrasin / riz complet / mix)
- 20 cl de crème végétale
- 1 càs rase de margarine ou huile de coco
- 1 càs de vinaigre de cidre
- 1 càc de bicarbonate
- 1 pointe de couteau de poudre de macis (sinon cannelle)
Rincer, équeuter et épépiner le potimarron.
Le débiter en dés en conservant la peau (si bio).
Cuire à la vapeur 15 mn environ. Bien écraser en purée.
Préchauffer le four à 180°.
Dans un cul-de-poule, mélanger farines, sucre, bicarbonate et macis.
Réserver.
Dans une petite casserole, attendrir la margarine et la purée d’amande à feu mini mini.
Ajouter la crème végétale et le vinaigre.
Unir le tout dans le cul-de-poule : le sec, la casserole, la purée de potimarron.
Bien mélanger.
Verser dans un moule à manqué (un gros moule rond) légèrement graissé.
Enfourner à 180° pour 20 mn environ.
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Verdict : ben comme annoncé, il n’est pas évident de le garder assez longtemps pour la photo… Il est à la fois populaire et pas encore trop vurevu, peu de sucre, peu de lipides, et pas de gluten si l’on veut ; il passe partout et fait plaisir aux plus grincheux comme aux plus prudents (genre les minots qui rechignent à légumiser leur life). Je l’adore et j’en referais toute ma vie, voilà, c’est dit.
Cuivre & Cumin 